Le Dit du temps haut, de Jean Figerou24/09/2007
Figerou fait parfois, devant la beauté, s’abîmer la pensée ; soit elle se rompt à force de tension, et bat la campagne, soit elle s’humilie et se replie sur elle-même et se contredit ou se répète. Il nous fait justement le coup à force de sublime en commençant ce texte qui met fin, provisoirement en tout cas, à son cycle pyrénéen, avant de poser la question : Où ? La plaine pollue l’âme de ses miasmes, la montagne étire trop l’âme vers l’éther. Où vais-je me poser ? et d’y répondre. L’odeur douce de l’aimée absente accompagne. |
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